“Penche-toi sur ton passé, répare ce que tu peux réparer, et tâche de profiter de ce qui te reste.”
♦ 24 ans - Française - Femme - Sauveurs - Hétéro ♦
Ton caractère
.
Moi ? C’est bien à moi que tu t’intéresses ? Oh, et bien, je m’appelle Ébeline, mais Ébi c’est beaucoup plus facile. Mon caractère ? Hum… je dirais que je suis une personne plutôt terre-à-terre et pragmatique. Je suis une vraie bricoleuse, enfin, c’est la seule chose que je sais bien faire. Réparer des machines et en inventer d’autres me permet de me sentir utile. En plus, on peut toujours réparer les objets, alors que les humains… Quand je ne bricole pas je suis plutôt maladroite. Oui, c’est paradoxal, mais dans la vie de tous les jours, je suis une vraie catastrophe ambulante. Avec les gens, je suis quelqu’un de franc et plutôt sympathique, sans jamais m’apitoyer sur mon sort, j’essaie de me créer un semblant de bonne humeur. Mais dans le fond, j’ai horriblement peur. Je redoute mes 25 ans, date à laquelle je pourrais me transformer en ces monstres qui hantent mes cauchemars. Forte en extérieur mais vrai froussarde à l’intérieur, j’utilise mes inventions pour me protéger ainsi que tous les gens qui m’entourent. Depuis que ma sœur m’a lâché pour rentrer chez les hyènes, je consacre la plupart de mon temps à mon travail pour essayer d’oublier cet acte que je prends comme une trahison. En parlant de trahison, je déteste ça et je relève pleins de petites choses anodines qui me font pourtant horriblement mal. Je ne m’énerve presque jamais, prenant sur moi en occupant mes mains pour vider mon esprit, mais parfois, je craque et je deviens presque hystérique. Ces « craquages » sont plus fréquents depuis que ma sœur n’est plus là pour me contrôler, mais je m’arrange toujours pour être seule quand ils surviennent. En général, ils consistent à une grosse crise de larmes où je me mets à frapper ce qui se trouve sous ma main pour me défouler… Oui ça fait crise de gamine, mais c’est ma façon d’évacuer, de faire le vide. Quand j’étais petite, on me qualifiait de précoce ou de petit génie, mais si la précocité dit intelligence, elle induit aussi des émotions décuplés et un cerveau toujours en action. La mécanique et l’informatique, que je ne peux malheureusement plus pratiquer, sont en quelque sorte ma « boule anti-stress ». Je m'entends très bien de nature avec les enfants auxquels je porte la même attention que celle que m'a porté ma soeur, et je suis dotée d'une grande patience. En général lorsque j’ai pris une décision, il est difficile de me faire changer d’avis et je n’hésite pas à contredire les gens. Au combat, je suis aussi utile qu’une mouche, ma seule arme est une grosse arbalète modifiée par mes soins, mais j’évite toujours de me battre. On peut donc me résumer à deux antonymes : fragile et forte.
Ton apparence
.
On me qualifie souvent de mignonne, mais qu’est-ce que ça veut dire mignonne ? Je ne suis pas suffisamment désirable pour être belle, mais mon visage est suffisamment beau pour ne pas être qualifiée de moche, c’est ça ? Pourtant, j’ai 24 ans, même si on me donne en général la majorité au maximum. J’ai abandonné tout espoir de passer pour une « belle femme » préférant me concentrer sur mon confort et la fonctionnalité de mon apparence et de ma tenue. Je ne suis ni très grande ni très épaisse, ce qui donne en chiffre 1m63 pour 45 kilos. Ma poitrine, bien que présente, n’est pas surdéveloppée comme la plupart des filles qui attisent les désirs des hommes. Mais au moins elle ne me gêne pas pour bricoler. Mes longs cheveux noirs sont souvent lâchés dans mon dos même si je les attache parfois quand mon travail l’oblige. Mes yeux sont ce que j’aime le plus chez moi, ils sont grands et de la couleur d’un saphir. En général c’est la seule chose de mon apparence que les gens complimentent. Ces yeux verts me permettent de concevoir mes inventions et j’en prends le plus grand soin. Mon visage est-ce qui me vaut l’adjectif « mignon », il est fin est plutôt bien proportionné et surmonté d’un petit né et de lèvres légèrement en cœur. Comment je m’habille ? Et bien quand je n’ai pas ma combinaison de mécano, je porte souvent des sweats trop grands sur un pantalon ou un short. J’ai une passion pour les pulls trop grands pour moi et j’en viens même à en voler quelques fois. Je porte presque toujours une petite besace autour de ma taille qui contient tout ce dont je peux avoir besoin. Ah, j’allais oublier, un petit tatouage très discret se situe à l’intérieur de mon poignet droit, c’est une petite colombe robotisée qui symbolise l’espoir de sortir de cet enfer un jour. Ma sœur possède le même et le regarder me plonge toujours dans un moment de nostalgie.
Ton histoire
.
Ce que j’ai vécu jusque-là ? Pour tout vous dire, j’ai eu une enfance plutôt particulière. Né de deux parents ingénieurs qui vouaient tout leur temps à leur travail, j’ai surtout été éduqué par ma sœur de 4 ans mon ainée. Quand on était petite, on passait toutes nos journées à regarder nos parents s’afférer autour de leurs machines et on les imitait sur notre petit établi de fortune. C’est sans doute là qu’est née ma passion pour tout ce qui touche à la mécanique et l’informatique. À l’école, j’excellai dans deux matières : les mathématiques et la physique, et en ce qui concernait les autres matières, j’étais médiocre voir mauvaise. Enfin, c’était surtout que je ne travaillais absolument pas en dehors des cours que je trouvais inintéressant au possible.
Le temps qui n’était pas occupé par l’école, je le passais dans l’atelier de mes parents, soit pour les aider soit pour apprendre de nouvelles choses en informatique ou en mécanique. Mes parents m’ont dédié un peu de leur temps pour m’apprendre différentes choses. Quant à ma sœur, elle détestait tout ce qui touchait à la logique et préférait utiliser son temps libre dans le sport. Cependant, cette différence ne m’a jamais empêché de bien m’entendre avec ma sœur, nous étions presque fusionnelles, elle était le corps et j’étais le cerveau.
Quand l’épidémie a touché notre famille, j’étais en train d’assister à un concours de boxe de ma sœur, étant donné que nos parents ne pouvaient jamais se libérer. Une fois la coupe en poche, nous sommes rentrées toutes joyeuses à la maison pour découvrir nos parents en train de saccager leurs inventions et livides comme des linges. Sous les ordres de ma sœur, j’ai fermé la porte de leur atelier aussi vite que je l’avais ouverte. Cette vision a été un choc pour moi, depuis les infectés hantent mes nuits et leur vision m'effraie. Une de mes plus grandes craintes demeure de me transformer en cette créature immonde, plus que 1 an avant de savoir si je suis immunisée ou non.
En moins de vingt minutes, nous avions regroupé suffisamment d’affaires et de matériel pour survivre plusieurs semaines. Mon ordinateur fessait même partie du voyage, au fond du gros sac à dos que je portais difficilement. Au bout de quelques semaines, nous avons été recueillies par les sauveurs, je devais avoir 23 ans. Cette nouvelle famille m’a tout de suite plu, je pouvais travailler autant que je le voulais et mes inventions me permettaient de protéger les gens qui s’occupaient de notre sécurité.
Cependant, ce clan ne devait pas convenir à ma sœur, au bout de six mois, elle est partie la nuit en me laissant un petit papier que je garde toujours sur moi et sur lequel trônent ces quelques mots « Je m’en vais, ne m’en veux pas. ». Comme à chaque fois, elle n'en faisait qu'à sa tête en ne pensant qu'à elle, mais d'un autre côté, j'essaie de la comprendre, c'est dur de vivre dans un endroit où on ne trouve pas sa place. Ça fait mal une séparation comme celle-ci, mais je garde l’espoir de retrouver ma sœur.
Depuis cette séparation, je travaille plus que raison pour éradiquer toutes les mauvaises pensées qui m’assaillent. Mon plus grand bonheur serait de réussir à ramener l’électricité dans cette ville morte, avec elle tout serait différent et irait plus vite. Mais bon, pour le moment ce n’est qu’un mirage comme beaucoup de choses d’ailleurs. Et bien, je pense avoir fait le tour, si tu as des questions n’hésite pas.
Derrière l'écran
.
Ton prénom et/ou Pseudo : Toujours louise Ton âge : Toujours le même Quelques mots sur toi : Je suis aussi gwen Comment tu es arrivée ici : En cliquant sur s'inscrire Ton avis sur le forum : Toujours aussi positif
Code par Eli-Ls.
Dernière édition par Ébeline Malvret le Mer 26 Aoû - 13:41, édité 20 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: Ébeline Malvret Lun 24 Aoû - 17:03
Welcome nouvelle arrivante
Ébeline Malvret
Messages : 26 Date d'inscription : 24/08/2015
Sujet: Re: Ébeline Malvret Lun 24 Aoû - 17:19
Petit j'étais là avant toi :p mais merci ^^
Invité
Invité
Sujet: Re: Ébeline Malvret Lun 24 Aoû - 17:40
Je pouvais pas savoir moi désolé pour la méprise
Ébeline Malvret
Messages : 26 Date d'inscription : 24/08/2015
Sujet: Re: Ébeline Malvret Lun 24 Aoû - 17:42
pas de soucis ^^
Invité
Invité
Sujet: Re: Ébeline Malvret Lun 24 Aoû - 17:47
Re-bienvenue ! o/ Et courage pour finir ta peutiote fifiche.