Julien Larkin

.

La description du caractère en un minimum de dix lignes. Pensez à parler de son humour, phobie, ce qu'il aime ou non. Et surtout, corrigez vous ! Bon courage

Larkin est sans doute le meilleur tireur d'élite qu'il reste en Europe, un œil d'aigle doublé d'un calme olympien et d'un amour fanatique qu'il voue à son fusil de précision, toujours graissé et prêt au tir. Sympathique et drôle il aime à penser que malgré la catastrophe des infecté, la vie pourrait être encore pire. Cela le rendrait quasiment normal s'il n'était pas soumis à de violentes crises, lui provoquant de sévère maux de tête. Ces crises passagères survenue après les premiers bombardement de Paris n'ont cesser de s'aggraver jusqu'à revenir à chaque situation de panique trop importante. Ces crises lui font voir des gens qui ne sont pas censés exister en plus des voix qu'elle lui font entendre. C'est à cause celle-ci que lui est venu son surnom de Larkin le dingue. Malgré cela il reste conscient de ces crises et tente à chaque fois qu'elle se manifeste de faire la part des choses.

.

La description du physique en un minimum de dix lignes. Pensez à parler de sa taille, peau, style vestimentaire. Et surtout, corrigez vous ! Bon courage

Ce tireur d'élite est un homme de taille plutôt réduite, mesurant à peine un mètre soixante-dix pour une soixantaine de kilos. Il ne pourrait pas se vanter d'être l'homme le plus fort où le plus imposant de la région. Sa musculature bien qu’existante et développée est pratiquement invisible laissant apparaître un homme visiblement peut impressionnant, tranchant avec les soldat d'infanterie de l'armée régulière. Sa tenue de combat lui est cependant parfaitement adaptée et ses traits tirés et sa peau pale sont cachés par un masque à gaz spécial lui permettant de viser parfaitement par la lunette de son fusil. Il est physiquement adapté à sa tache, assez discret pour se cacher quasiment n'importe où. Sa seule particularité physique notable sont ses yeux vairons : son œil gauche est d'un gris changeant alors que le droit est marron. Cette particularité peu commune lui donne un regard déstabilisant pour ceux qui ne le connaissent pas. Il affectionne particulièrement son rôle de gardien du laboratoire, persuadé que c'est de là que viendra les solution du futur. L'imposant maque qu'il porte cache un visage fin qui ne correspondrait pas à celui d'un militaire, la figure de cet homme semble plus prompte à sourire qu'à afficher la moindre colère, même si cela arrive souvent en ces temps troublés, si l'on double cela à des cheveux châtain rendu légèrement trop long pour un militaire et qui cachent tout juste son front, Larkin pourrai facilement être confondu avec un civil s'il ne portait pas sa tenue.

.

L'histoire de votre personnage en un minimum de vingt lignes. Pensez a parler de son enfance, de comment il à vécu le début de l'épidémie. Et surtout, corrigez vous ! Bon courage

    Julien Larkin, le Major Larkin ou tout simplement Larkin était un tireur d'élite appartenant aux régiment chargés de défendre le laboratoire de Paris. Cet homme de vingt huit ans, né et élevé à Paris à derrière lui huit ans de service dans l'armée dont sept en tant que spécialiste du tir de précision.

Ce fut doc naturellement qu'il fut déployé sur les toits de Paris pour assurer la sécurité de la dernière chance de l'humanité. Si au début tout semblait bien se passer, c'est lorsque la panique s'installa en ville que tout se compliqua pour lui. Les ordres d'abords clair, de protéger le labo des infectés devinrent flou avec les premier bombardement. Le chaos s'installa rapidement et les petites équipes de tireur se retrouvèrent bientôt isolés du centre de commandement. Si la plupart purent regagner la base sans soucis, ce ne fut pas son cas.
Alors que la grogne s'installait, les premiers avions bombardèrent la ville tuant les gens sains et les infectés, et tout cela il le vit, au travers de sa lunette grossissante, voyant de très près la mort de ces gens déchirés par les explosif ou brûlés vif par le napalm.
Ce qui s'en suivit finit par attaquer sa santé mentale. Les rares rescapés se firent attaquer par les infectés, les zombies s'en prenant à tout survivant, homme, femme, enfant.
Il fit de son mieux pour les protéger, tirant cartouche sur cartouche, pulvérisant des crâne, mais il avait beau tirer d'autre venait, pas d'enfant heureusement, mais tout ce que contenait Paris lui semblait passer devant sa lunette pour s'attaquer aux survivant. A l'aide se sa lunette, il voyait distinctement les cadavres mordre les civils pour leur arracher de grand lambeau chair dans des effusion de sang terrible.

Les jours passèrent, et une pile de munition et de canon bleuis s'amassaient à côté de Larkin, qui le souffle court commençait à ressentir le manque de sommeil. Ses journée passées à détruire l'infection l'avaient rendu nauséeux, exténué. Et il se mit bientôt à voir des visages saint sur les infectés et des monstres sur les gens saints. Sa raison déjà bien entamée vola en éclat lorsque le spectacle recommença des voix lui susurrant que l'extermination totale était le seul moyen de s'assurer que personne n'était infecté.
Les détonation du fusil se prolongèrent pendant encore des heures avant qu'une équipe ne récupère le sniper rendu à moitié fou par le carnage,celui-ci passa tout le trajet à murmurer des choses incohérentes.

Ce n'est qu'après plusieurs jour de soins qu'il put remettre les pieds dehors redécouvrant un monde encore pire qu'au moment où il l'avait laissé. Beaucoup des autres membres saluèrent son courage et son nombre victime infectés.
Ce ne fut qu'avec les autres mission que des crises se manifestaient, lui faisant avoir d'étrange vision qui faisait parfois apparaître des gens qui n'existaient pas et lui faisait entendre des voix venus de nulle pars. Il n'en resta pas moins l'un des meilleur tireur du régiment. Toujours posté sur les toits et traquant les infectés.

Derrière l'écran