Alicia Margaret (Scientifique de l'espoir) [Terminé]

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La description du caractère en un minimum de dix lignes. Pensez à parler de son humour, phobie, ce qu'il aime ou non. Et surtout, corrigez vous ! Bon courage

Alicia peut avoir un sacré caractère mais tout dépend dans quel domaine elle se trouve, dans sa carrière professionnelle, elle est obstinée et déterminée, ne reculant devant rien et ne lésinant sur aucun moyen pour avancer, ce qui fait d’elle une pointure, elle est pour ainsi dire « avide de connaissances » mais lorsqu’il s’agit de son comportement avec ses supérieurs, même si elle répond toujours favorablement aux ordres, elle reste un vrai robot dénué de sentiments, ainsi, dans le cas où elle est félicitée, elle ne prend pas de zèle, et si, dans le cas contraire, réprimandée, elle ne sentira pas son amour propre blessé. (quoique…).

Avec sa famille, elle se montre en fille modèle, aidant son père en faisant le nécessaire, et alterne taquineries et sérieux avec son frère.

En ce qui concerne les autres « humains », elle aime se placer en retrait pour les observer et les analyser sans se mélanger à eux nécessairement, mais n’est pas non plus une solitaire. En général, elle est neutre voir timide avec les inconnus, serviable à l’extrême avec ceux qui requière son aide, gentille, douce et à l’écoute avec ceux qu’elle apprécie (ils sont certes très peu) mais donne son meilleur avec eux, s'investissant corps et âme dans le peut de relation qu'elle a eu, il est donc naturel que dans certaines situation elle puisse devenir "mauvaise" en étant jalouse ou en se mettant en colère contre quelqu'un (même s'il reste difficile d'en arriver jusque là avec elle.)
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La description du physique en un minimum de dix lignes. Pensez à parler de sa taille, peau, style vestimentaire. Et surtout, corrigez vous ! Bon courage

La jeune femme est dotée d’une beauté naturelle et normale, elle est gracieuse, avec des cheveux longs châtains sombres, mais qui, dés qu’ils sont au contacte avec la lumière du soleil, ils s’éclaircissent, toujours relâchés en civile, mais au sein du laboratoire, ils sont attachés, ses yeux sont couleur noisettes, elle a un teint très pâle mais ses pommettes ont tendance à devenir roses. Elle est de taille normale : environ 1m65 pour 55kg ?
Avant la pandémie, et même après, Alicia est quelqu’un de coquet malgré tout, elle trouve toujours du temps pour se maquiller, prendre soins de ses cheveux, mettre de beaux bijoux (qu’elle retire évidemment lorsqu’elle travaille), porter de beaux vêtements harmonieusement sans pour autant que ce soit en vogue, ni trop vulgaire non plus mais qui mettent sa silhouette et son visage en valeur. De façon générale, elle prenait soins de son corps, ça lui permet de garder un bon moral et de s'épanouir davantage. Après, belle ou pas, comme on dit : la beauté est dans les yeux de celui qui regarde ».
Au laboratoire, elle porte selon le niveau de contamination, de la simple blouse blanche, à la combinaison anti-virale.
Elle aura tendance à se protéger les cheveux avec un capuchon appartenant à la cape blanche qu'elle portera lorsqu'elle sortira éventuellement du centre de recherche, aura également un masque à gaz pour le "cas où".
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L'histoire de votre personnage en un minimum de vingt lignes. Pensez a parler de son enfance, de comment il à vécu le début de l'épidémie. Et surtout, corrigez vous ! Bon courage

Alicia naquit au sein d’une famille modeste, très tôt dans son âge, on lui inculqua les valeurs primordiales de la vie, telle que la justice, la morale et le discernement entre le bien et le mal, ces notions vont conditionner tous les choix qu’elle pourra faire dans sa vie. Sa famille ne se composait que d’un père et un grand frère, elle n’a jamais connu sa mère, qui a surement dû les abandonner pour une raison ou une autre, en effet, son père reste très évasif sur le sujet et même si en grandissant, la jeune fille se demandait quant aux raisons qui ont fait que sa mère s’en aille, elle n’a jamais ressentie de la rancoeur envers elle, mais sentira toujours le vide qu’elle a pu laisser. Très tôt dans sa vie, Alicia aidait son père dans les tâches ménagères, du mieux qu’elle le pouvait, suivant son âge, elle devint très efficace.

Elle eu accès aux études le plus normalement possible comme beaucoup d’autres enfants, elle faisait partie des meilleurs élevés sans pour autant être en tête de liste, grande travailleuse du primaire à l’université, elle ne lésina sur aucun moyen pour arriver à être finalement sélectionnée dans une fac de médecine, puisqu’elle avait des penchants pour tout ce qui biologie et corps humain. En se remémorant tous son parcourt, elle se rend bien compte que ça n’a jamais été facile, se rappelant le nombre de fois où son père l’empêchait de sortir pour faire ses devoirs, ou les soirées qu’il passait pour lui faire apprendre les tables de multiplication, ou même des heures passées sur des exercices épineux…, mais une fois mise sur les railles, personne ne pouvait plus empêcher son avancée et c’était entièrement grâce à son père qui, même après une dure journée où il avait cumulé deux travail, il accomplissait son boulot en temps que père aimant et désireux voir ses enfants réussir dans leur vie. Même si, lorsqu'elle était qu'une enfant, elle ne comprenait pas pourquoi il lui interdisait les sorties et la compagnie d’autres, en gros sa sévérité dans certains domaine, mais en grandissant, elle ne pouvait que le remercier et lui en être reconnaissante car il a fait d’elle une femme accomplie.

Sinon, au niveau des établissements qu’elle a pu fréquenter, Alicia était appréciée par ses camarades et enseignants pour sa discrétion, sa gentillesse et son calme, en effet, dés qu’elle trouvait quelqu’un en difficulté dans n’importe quel domaine, elle n’hésitait pas à l’aider d’une façon ou d’une autre, que ce soit en prêtant ses notes, ses livres, son temps et patience, ou tout simplement un sourire et ceci sans rien attendre en retour. Malheureusement, en idéalisant trop les gens qui l’entourent, et l’humain de façon général, elle se heurta bien assez tôt à la triste nature de ce dernier : mauvais, avide et se contre-fichant des valeurs morales, du bien et du mal lorsqu’il s’agit de tirer profit, et donc à travers les conflits sociaux qu’elle a pu voir, elle ouvrit les yeux, mais, elle ne condamna pas l’humain pour autant, et aimait toujours aider et prendre les plus démunis sous ses ailes… uniquement ceux qui le méritent, d’ailleurs c’est ainsi qu’elle a connue l’une des personnes les plus chères à son cœur à l’université, tout simplement en lui prêtant ses anciennes notes et livres de références, et pour la première fois, ceci déboucha sur une vraie amitié, en effet, nombre de fois où elle soutenait ses camarades, mais c’était le seul qui la remercia non pas par un « merci » mais par son amitié et qui, par la suite devint son seul élément de vie sociale, étant très absorbée par ses études, elle laissera de côté toute relations amoureuse ou même amicales, mais cet étudiant qu’elle aida, restera l’exception qui confirme la règle.

Après des études réussit, puis une spécialité en pédiatrie tout aussi réussie, Alicia entre dans le domaine de la recherche pour un doctorat. C’est après deux ans, que l’épidémie se déclara, elle fût convoquée pour faire partie d’une équipe de chercheurs sur le virus de l’épidémie, lorsque le centre de recherches à Paris fut ouvert.
Suivant ses connaissances, elle fait de son mieux pour trouver avec ses collègues un vaccin contre le virus qui n’arrêtait pas de prendre de l’ampleur sans pour autant affecter les enfants, la mort des gens signalée à chaque fois était très affligeante pour elle, elle avait peur pour sa famille surtout, se demandait si ce virus a été crée par la nature contre l’humain, ou si c’était l’humain qui l’avait crée contre ses congénères.
Les scientifiques essayaient de comprendre le fonctionnement du Virus par tous les moyens possible : en le regardant agir macroscopiquement sur des cobayes (ou rat de laboratoires), ou microscopiquement dans des cultures cellulaire pour au moins lui donner un profile et voir à quels groupes il peut appartenir. Puis, avant que l’état ne décide de bruler les corps, ils effectuaient des autopsies sur les cadavres ainsi que des analyses anatomopathologique mais les résultats n’étaient pas bien concluants : les ganglions lymphatique montraient une réaction comme lors d'une invasion par n’importe quel virus, les lésions tissulaires n’avaient rien de pathognomoniques, la sérologie était encore ambiguë, quant à la pathogénie, elle était encore mal élucidée.
L’analyse du génome viral était en cours et des testes cliniques débutaient que ce soit pour la chimiothérapie pour ceux atteint ou une vaccination (voir sérovaccination)

Finalement, le plus redoutable arriva : uns à uns, les scientifiques tombaient, étant en contacte directe, ils avaient plus chance de contracter la maladie que les autres, malgré toute les protections qui s’offraient à eux, car on pensait que le mode de contamination était aérien. Ceux restant en vie étaient stressés fatigués, démoralisés et apeurés. Les jours passaient et le centre de recherche se vidait, que ce soit les militaires ou les scientifique. Heureusement pour la jeune femme, elle ne s’était attachée à personne dans le centre, elle était juste là comme un robot, travaillant durement en attendant la fin et par « fin » c’est plus la mort qu’autre chose. C’est donc, c'est dans l’indifférence qu’elle voyait les gens qui l’entouraient mourir, dans un premier temps, elle les aidait en traitants leurs symptômes uniquement, mais au final, dés que quelqu’un présentait ces symptômes, c’était l’euthanasie, elle espérait que lorsque ce sera son tour, quelqu’un pourrait lui prodigué ce « traitement », mourir par une overdose de morphine ne pouvait qu’être bon comparé à ce qu’il les auraient attendu…

Pour maintenir son morale et ne pas sombrer, elle se souvenait de ce jeune homme avec qui elle était amie, des moment passés à discuter ensemble sans voir le temps s’écouler, de la naïveté et innocence de ce dernier , c’est pour les gens comme lui qu’elle tient le coup et continue à chercher, ceci l'empêchait également de penser qu'elle avait surement perdu sa famille.

Alicia savait une chose : peu importe les précaution qu’elle a pu prendre dans ses diverses manipulation du Virus, tôt ou tard, elle a été en contacte avec ce dernier d’une façon ou d’une autre, elle n’était pas meilleure que tous les scientifiques ou militaire qu’elle a vu tomber, des suppositions ont été émises  que ce soit par elle ou par les têtes pensantes qui restent encore en vie dans le centre de recherche : ils se pourrait qu’il y ait des gens sensibles et des récepteurs, les premiers exprimeraient la maladie par des signes cliniques, tandis que les seconds seront juste des porteurs asymptomatiques (ou pouvant éventuellement avoir une légère hausse de la température) mais ces derniers pourraient, dans ce cas, non seulement être porteurs du germes mais aussi excréteurs et donc contaminant pour les sensibles, mais en plus, il est probable, si le Virus suscite les anticorps neutralisants, qu’ils aient au niveau de leur sérum des anticorps-antiVirus, et donc un éventuel vaccin… Cependant, tout cela reste des spéculation, et la non contamination des enfants reste une grande question.

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